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♠ messages : 16 ♠ date d'inscription : 26/09/2010 ♠ copyright : DEL ♦ PHIE ♠ âge du perso : 2 O années déjà. ♠ music box : W o n d e r w a l l ♦ O a s i s
| Sujet: E L E O N O R E — Love the way you lie. Dim 26 Sep - 12:23 | |
| TELL ME MORE about you long story short
Eleonore Ann Livingston a pointé le bout de son nez rose il y a vingt ans déjà dans la ville de Pasadena, située au nord-est de Los Angeles et au pied des montagnes de San Gabriel, dans l'État de Californie aux États-Unis, un certain vingt-deux novembre à vingt trois heures cinquante cinq. Elle pouvait pas faire minuit, non. Ce qui montre déjà que la demoiselle est quelqu'un de très compliqué. Ou peut être avait-elle peur des douze coups de minuits ? Serait-elle une Cendrillon version moderne ? C'est de l'union de Anabelle Anderson, de son nom de jeune fille, et de son époux Liam Livingston, tout deux fraichement mariés, que ce magnifique bébé potelé vit le jour. Ils se souviennent encore de ce moment comme si c'était hier. Ce moment qu'ils considèrent, comme pratiquement tous parents, le plus beau jours de leurs vies laissant descendre leur mariage en deuxième position. Lorsqu'ils ferment les yeux, ils peuvent revoir la scène dans les plus infimes détails. Les cris rassurant du nouveau né, ses pleurs, le premier contact des bras de sa mère qui l'entouraient le serrant bien fort contre sa poitrine, les doigts protecteurs du père qui lui caressaient délicatement la joue, les traits semblables qu'ils pouvaient déjà discernés et la joie immense qu'ils ressentirent lorsqu'ils contemplèrent leur bébé, leur enfant, le fruit de leur amour.
Les enfants grandissent vite, à une allure fort. Les parents sont souvent choqué de la vitesse et restent toujours surpris, même après plusieurs années, des réactions de leurs progénitures. Ils les revoient toujours en couche culotte mais jamais en parfait gens élégants. Pour eux, l'enfant reste toujours leur petit bébé qui marchait à quatre pattes dans le salon et qui mangeait le sable dans les bacs au parc. Pour Eleonore, c'était pratiquement la même chanson. Elle passait toute son enfance dans la ferme de ses parents qui se situe dans une banlieue, considérée comme un milieu qui n'est se croule pas sur l'argent, au alentour de la ville de Pasadena. Eleonore a été élevée dans le respect d'autrui, la générosité mais également dans la responsabilité. Peut être essayait-on de la faire grandir plus vite que les autres enfants, car la petite n'avait même pas encore atteint les dix ans. Mais au fil des années, elle apprit une chose, ou plutôt une valeur, très importante dont son père prit le plus grand soin de lui enseigner.
Un matin où le coq, entourée de ses nombreuses prétendantes, chantait à gueule ouverte dans le poulailler pour inciter les résidents de la ferme à sortir du lit pour donner leurs visages à un soleil radieux, Eleonore était déjà a table entrain de déguster les succulents pains de cake au sirop d'érable que sa mère avait préparé avec un grand amour sorti du plus profond de son coeur. Toujours au fourneau à préparer une deuxième tournée, le père lisait le journal en buvant son café, étant assit sur la chaise à côté de la jeune fille. Ses lunettes rectangulaires disposées sur le bout de son nez lui donnaient un air tellement sérieux. Eleonore respectait cet homme plus que n'importe qui, il n'avait pas eu la chance de poursuivre de grandes études car personne ne pouvait lui payer de quoi s'instruire mais pourtant, il était très cultivé et il défendait certaines valeurs importantes à ces yeux que la gamine d'à peine six ans voulait absolument connaitre et transmettre à son tour pour la prochaine génération qu'elle espérait engendrer un jour, dans longtemps. Mordant à pleine dents dans le pain qu'il y avait dans son assiette, elle regardait chacun de ses gestes et surtout, à quel point il pouvait être concentré et intrigué dans sa lecture. Comme tout les matins, il se renseignait sur les évènements locaux mais aussi du monde car comme il disait : « Il faut se tenir informer de ce qu'il se passe autour de nous, ne pas être un ignorant, car nous vivons dans ce monde et les changements sont constants, il ne faut pas être pris au dépourvu et puis, tu passeras pas pour un obsolète. ». Un filet de sirop coulait dans le coin des lèvres de la fillette qui contemplait avec admiration son père. « Ah, les revenus des ménages ont encore baissé cette année ! Nous finirons par être un pays pauvre ce n'est qu'une question de temps. » Jal n'était pas dupe, elle se rendait compte que ses parents n'étaient pas des riches gens car la petite n'avait le droit qu'à des bottes de pluie pour sortir. Les parfaites sandales roses étaient plutôt chères et en plus de ça, ses parents se réunissaient tout les soirs devant la télé pour discuter entre eux des récentes factures. Après un long moment et prenant son courage à deux mains, elle déposait son pain dans son assiette puis elle risquait une question qu'ils redoutaient affreusement : « Dis Papa, c'est quand que je pourrais aller à l'école ? » Le dit « Papa » levait ses yeux par dessus le haut de ses lunettes et la regardait un moment sans ouvrir la bouche. Ensuite, il plia son journal avant de le mettre sur la table, à côté de ses couverts. « Le savoir est quelque chose de magnifique, de précieux, mais qu'il faut mériter. Ton esprit sera digne du savoir si tu te donnes la capacité, les moyens, pour le connaitre et le maitriser », lui disait-il d'une voix sérieuse, les mains jointes. Anabelle avait cessé tout mouvement pour écouter attentivement leur conversation. Jusqu'à maintenant, Eleonore n'avait jamais eu la chance de fréquenter une école, faute de moyens. « Je veux avoir ces moyens ! Je pourrais t'aider à la ferme, avec les poules ou même donner à manger aux vaches, je pourrais aussi nettoyer les écuries ! » S'écriait l'enfant. Difficile à croire qu'une fille de six ans portait un tel discours. En réalité, elle avait surpris une conversation entre ses parents la veille qui portait sur leur découvert à la banque et le manque de manoeuvre à la ferme. Ces temps-ci étaient rudes...
Au final, Eleonore aidait ses parents à la gestion de la ferme. Elle ramassait les oeufs frais dans le poulailler repoussant le coq qui l'attaquait tout le temps à l'aide d'un parapluie, nettoyait le crottins dans les écuries, le terrain pour les chevaux et les vaches et elle faisait rentrer à cheval les animaux qui étaient dans les champs lorsqu'elle su monter. Vu l'immense travail et l'aide qu'elle procurait aux fermiers qui leurs faisaient économiser pas mal d'argent, ils lui payèrent en contre partie ses études.
Seulement, l'école primaire et le collège n'étaient pas comme elle l'espérait. Beaucoup trop "mature" pour les gens de son âge, beaucoup se moquait d'elle et de sa pauvreté. Sans cesse, elle ramassait des remarques dans le couloir sur ses chaussures, d'autres lui disaient de retourner balayer la merde et encore sur la situation financière de ses parents. Les croches pieds dans les couloirs, les boules de gomme qui atterrissent comme par hasard dans ses cheveux mais bien sur, personne n'a jamais rien lancé. De même pour les flans qui s'écrasaient violemment mais "accidentellement" dans ses cheveux lors des repas à la cantine. Les enfants sont parfois des créatures infectes. Eleonore aurait pu refuser d'aller à nouveau à l'école, pleurer pendant des heures le soir au bord de sa fenêtre ou encore se confier à ses parents pour essayer qu'ils arrangent ça en adultes. Mais rien de cela. Certes, parfois la demoiselle s'adossait contre le rebord de la fenêtre pour admirer les étoiles afin de laisser couler une ou deux larmes le long de ses joues mais rien de plus. Elle estimait que personne n'avait le droit de lui gâcher son plaisir d'apprendre et sa chance de se retrouver à l'école car c'était quelque chose que ses parents auraient adoré aussi mais qui n'ont pas pu. Elle voulait les rendre fière alors rien ne pouvait sous estimer sa force.
Eleonore fut persécuté pendant un long moment par ses camarades de classe mais ça ne l'empêchait pas d'avoir de bonnes notes et de passer chaque année en classe supérieur. Pourrons-nous la considérer comme une intello ? A vous de voir mais sachez qu'elle n'a jamais aimé les préjugés et les étiquettes collées d'office. Avec ceci, la jeune fillette n'a pas eu l'enfance facile et donc, elle n'a jamais connu le vrai sens du mot amitié, comme l'amour. Elle croit savoir ce que s'est mais tout ce qu'elle a appris, c'était dans les livres. Un sentiment stimulé par une partie du cerveau. La demoiselle a toujours été attirée par la psychologie, l'étude du cerveau. Pendant un long moment, elle se voyait neurochirurgien mais elle n'était pas sur de supporter la vue du sang. Alors, elle choisit de s'orienter plutôt sur une valeur sûre, les livres. Une passionnée de lecture et de langue, pourquoi pas devenir traductrice de livres ? Elle n'a pas tout à fait sur encore dans son orientation pour l'avenir mais elle y pense chaque soir. Ses parents réussirent à lui payer ses études jusqu'à sa première année à l'université. Cette année, elle espérait réellement passé quelque peu inaperçu, ne voulant absolument pas retrouver les mêmes embuches que ses années élémentaires. A vrai dire, elle n'était pas sur d'avoir assez de force pour l'endurer une seconde fois. La demoiselle décidait par conséquent de se fondre dans la masse de population qui encombraient les couloirs, être oubliée. L'est devenue de plus en plus renfermée sur elle même. Alors elle se mit à apprendre à jouer de la guitare avec seulement ses doigts comme enseignants puis très vite, elle se mit au piano lorsqu'elle allait dans le magasin de musique du centre ville. La musique lui permettait de s'évader de son monde, l'espace d'un instant.
Après une journée d'étude bien rempli, Eleonore arrivait enfin à la ferme dans son espèce de camionnette noir. Surement une espèce en voie de disparation et vu la laideur et le boucan qu'elle émane, ce n'est pas plus mal. Passant au point mort puis relevant le frein à main, elle coupait ensuite le contact. La demoiselle se trouvait dans l'immense allée de terre qui menait à sa maison. Sur le côté droit, il y avait un enclos pour les poules et un autre pour les moutons, mais entre les deux, un chemin de terre conduisait au box pour les cheveux avec un côté leur manège. Sur le côté gauche, il y avait les écuries pour les vaches, là où elles se font traire et non loin après, la grange qui accueille bon nombre de bottes de foins, de sacs de nourritures pour chaque animaux. Derrière la maison, se trouvait un énorme champs où vaches mais plus principalement chevaux se promenaient en liberté sur d'innombrables hectares de verdure. Chopant son sac sur le siège passagé, elle sortit rapidement de ce qui lui servait de voiture en prenant soin de bien claquer la porte sinon elle ne se ferme pas puis elle lançait un « Bonjour ! » plein d'enthousiasme à ses parents qui étaient entrain de labourer la terre du jardin. Ceux-ci lui répondirent par un grand sourire et un signe de la main salie par la terre humide. Eleonore ne mit pas longtemps pour atteindre le pavillon de sa maison. S'essuyant les pieds sur le tapis : « Welcome to the Livingston », elle franchit la lourde porte en bois avant de monter les escaliers quatre par quatre pour se faufiler ensuite dans sa chambre. Son sourire restait afficher sur ses lèvres sans qu'elle puisse s'en défaire puis, en laissant tomber son sac à dos par terre, elle s'affalait sur le dos dans son lit et fixait le plafond d'un air rêveuse, une main sur le coeur qui battait à en sortir de sa poitrine. Ses respirations étaient grandes et profondes. Ses mains tremblaient légèrement sous un fin effet l'adrénaline. Elle ne mit pas longtemps pour se pencher sur le côté afin d'attraper son journal intime dans le tiroir de sa table de chevet, qu'elle déposait ensuite sur ses genoux à une nouvelle page entièrement vierge. Clippant sur le bouton en haut de son stylos pour y descendre la plume, ses doigts se laissèrent entrainer par le rythme de son coeur qui désirait absolument s'exprimer quitte à paraître absurde, de toute manière personne ne pouvait lire un jour une de ses précieuses pages. Elle contait sa fameuse aventure avec ce jeune homme mais aussi la douleur qu'elle ressentit à la poitrine en se réveillant le matin et n'y trouvant qu'un mot. La demoiselle refermait la couverture de son journal puis le serrait un long moment contre sa poitrine en réfléchissant. « Il y a dans le coeur d’une femme qui commence à aimer un immense besoin de souffrir. » de Nodier Charles, un écrivain romancier et académicien français à qui on lui attribue une grande importance dans la naissance du mouvement romantique. Mais en même temps, on ne peut pas vivre dans une peur constante de la souffrance. Au fur et à mesure qu'elles grandissent, les filles se font enseigner un tas de choses. Si un garçon vous donne un coup de poing c'est qu'il vous aime, n'essayez jamais de couper vous-même votre propre frange et un jour vous rencontrerez un gars merveilleux et vous vivrez alors votre propre conte de fée. Tous les films que nous voyons, toutes les histoires qu'on nous raconte nous implorent d'attendre que ça nous arrive. Le coup de théâtre du troisième acte, la déclaration d'amour inattendue, l'exception qui confirme la règle. Mais nous sommes parfois si pressées de vivre notre conte de fée, que nous n'apprenons pas à interpréter les signes. Comment faire la différence entre ceux qui sont intéressés par nous et ceux qui ne le sont pas, ceux qui resteront avec nous et ceux qui ne resteront pas ? Et il se peut que parfois le gars merveilleux ne fasse pas parti du conte de fée. Ou peut être que le conte de fée, c'est le fait qu'en dépits de tous les appels non retournés, les coeurs brisés, en dépits de toutes les gaffes et signes mal interprétés, en dépits de tous les chagrins et les humiliations : vous n'ayez jamais perdu espoir. Mais là, reste-t-il vraiment un espoir ? C'est alors que Eleonore refermait son journal intime avant de le reposer dans sa cachette. Par la suite, elle sortit de sa chambre dans le but de prendre une bouteille d'eau pour hydrater sa langue pâteuse mais ses pas lourds qui descendait les escaliers se sont fait d'un seul coup plus discrets à l'entente de chuchotements dans le salon. Eleonore longeait le mur jusqu'au salon et épiait la conversation de ses parents. « Oh mon chéri.. Pourquoi le sort s'acharne-t-il sur notre famille ? » lâchait sa mère dans un profond soupire avant de se laisser tomber lourdement sur le siège à côté de son mari. « Ce n'est pas cela qui m'inquiète le plus, Anabelle. Comment vais-je subvenir à vos besoins maintenant ? Les études de Jal à l'université, la ferme à entretenir sans que je sois là comme main d'oeuvre, et les frais d'hôpitaux vont se rajouter.. » lui répondit-il avec le plus grand désarroi. Eleonore n'avait jamais vu son père aussi désemparé. Lui qui était un homme fort, ambitieux, battant. Il était devenu vulnérable. Sortant de l'ombre, la demoiselle s'avançait d'un pas inquiet vers ses parents. Sur la table basse en bois, sculpté par le grand père de la jeune fille, se tenait une feuille déplié disposé au dessus d'une enveloppe dont le haut était déchiré. « Maman, Papa.. Que se passe-t-il...? » leurs demandait-elle en les regardant chacun à tour de rôle. La mère n'eut seulement à baisser les yeux en guise de réponses. Le père, en revanche, connaissait bien sa fille, il savait pertinemment que lui mentir n'aurait qu'aggraver la situation. « J'ai une tumeur Eleonore. ». Ce fut comme un choc. C'était à son tour d'avoir l'air désarmée, inefficace. « Je dois rentrer au plus vite à l'hôpital pour qu'il me prenne en charge le plus rapidement possible, afin d'éviter qu'elle se propage et ne produise encore plus dégâts. Mais d'après le scanner, il serait déjà trop tard.. Je ne veux pas vous laissez, toi et ta mère, dans la ferme. Avec tes études, il faudrait vous trouver quelque chose de plus petit.. ». S'en était trop, les larmes commençaient à monter aux yeux de la brune qui semblait pourtant être totalement immuniser depuis des années. Toute la vie qu'elle souhaitait venait de s'effondrer sous ses yeux, toutes les choses qu'elle avait envie d'accomplir pour rendre son père fier venait de s'envoler puisqu'il allait, lui aussi, bientôt s'envoler parmi les anges. Relevant la tête d'un air décidé, elle regardait son modèle droit dans les yeux. « Non. Cette ferme, c'est tout le fruit de ton travail. Tu as mis tant d'années dans cette maison, ce chez nous. Je ne laisserai pas tout tomber. J'arrêterai l'université pour pouvoir aider aux tâches agricoles et payer l'hôpital. Nous sommes une famille unie, jusqu'au bout. ». Ces paroles composées de tant de courage, de force et de volonté, mais aussi d'amour, réussi à faire couler une larme de long de la joue de son père. Sa fille était devenue une personne merveilleuse, son ange gardien.
Par la suite, Eleonore a fait part à l'université d'une lettre qui confirmait son départ pour raisons personnelles alors qu'elle venait d'y entrer il n'y avait même pas une semaine. Avec l'argent qui aurait du servir à payer ses études, elle pouvait placer son père dans un établissement spécialisé pour ce type de maladie et lui offrir les soins adaptés. Elle travaillait sans relâche à la ferme, occupant la place de chef qu'il tenait auparavant. Plusieurs mois se sont écoulées pour au final devenir un an. La ferme allait mieux et leurs situations financières étaient plus que moyenne. Avec ses économies qu'elle gagnait en enchainant les petits boulots, elle eut les moyens de retourner à l'université pour une année supplémentaire. Seulement, ayant trop d'effectif, l'établissement n'a pas pu la recevoir. Par conséquent, elle déménageait seule dans une nouvelle ville pour une nouvelle vie.
BEHIND the screen dites en plus à propos de vous
▌ AVATAR : Candice Accola ▌ PERSONNAGE TIRE D'UN SCENARIO ? oui [] non [x]
▌ PRÉNOM/PSEUDO : Tourniquet ▌ AGE : 16 ans ▌ SEXE : Féminin ▌ QUE PENSES-TU DU FORUM ? Vraiment magnifique ! ▌ AS-TU LU LE RÈGLEMENT ? Oui bien sur. ▌ QU'ATTENDS TU POUR ME DONNER LE OU LES CODES ALORS ? Validé par Abbie M. ▌ PRÉSENCE SUR LE FORUM : 7/7jrs ▌ QUELQUE CHOSE A AJOUTER ? Non pas du tout. ▌ VOILA, T'AS FINI... T'ES FIERE DE TOI ? BRAVE BETE VA. MDR
Dernière édition par A. Eleonore Livingston le Lun 27 Sep - 19:04, édité 7 fois |
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♠ messages : 119 ♠ date d'inscription : 07/09/2010 ♠ copyright : Absent Minded ♠ âge du perso : 21 ans ♠ music box : pack up - eliza doolittle
| Sujet: Re: E L E O N O R E — Love the way you lie. Lun 27 Sep - 19:14 | |
| J'ai lu ta fiche avec intérêt. Ce que j'ai aimé, c'est que ton personnage est très touchant. Elle n'a pas eu la vie facile, entre les persécutions et la maladie, on comprend bien ses choix, on comprend ses priorités et ton histoire est plutôt bien écrite. J'aime bien le fait qu'elle ait grandi dans une ferme, ça change un peu des histoires qu'on lit tout le temps. J'ai bien aimé ta façon de nous présenter Eleonore et j'ai hâte de la voir en RP ^^
Ce que j'ai moins aimé, ce sont les quelques tournures un peu maladroites parfois qu'on peu trouver dans ton histoire. Ce n'est pas dramatique et ça ne prend pas le dessus sur le récit que tu nous fait ^^
Pour ma part, tu es validée, mais il faudra attendre l'avis d'Abbie pour confirmer ^^Je temets dans ton groupe !
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